L’électricité dans l’antiquité : Civilisations et savoirs anciens

Le terme électricité dérive du mot grec "électron", un substantif qui désigne l'ambre. En effet, dès l'Antiquité, on connaissait la caractéristique de la gemme d'attirer les petits corpuscules après avoir été frottée avec un tissu de laine.

Mais l'électricité était-elle connue dans les temps anciens ?

Des découvertes telles que la batterie de Bagdad ou des objets trouvés en Amérique du Sud à l'époque précolombienne qui semblent avoir été fabriqués par électrolyse, et enfin des sections des anciens murs de Jérusalem qui semblent avoir été soudées ensemble, semblent confirmer cette hypothèse.

Mais le fait que, probablement dans des cercles restreints et avec une connaissance vague et incomplète, le "secret" de l'électricité ait été transmis de l'Antiquité à des temps plus récents, comme chez les alchimistes du XVIIIe siècle ou dans les fraternités japonaises de la fin du XIXe siècle, ne changerait certainement pas votre vision de l'histoire, puisque cette connaissance est restée substantiellement inutilisée, comme ce fut le cas pour la connaissance de la vapeur à l'époque hellénistique.

Mais ce fait vous ouvre la voie à d'autres considérations concernant la sagesse antique.

La connaissance intuitive des choses ou la "conscience magique ", comme l'appelle le Père Hugo Enomiya-Lassalle, que vous avez perdue a non seulement conduit à la découverte de l'énergie conventionnelle, mais probablement aussi à une forme d'énergie qui vous est encore inconnue.

En effet, cette forme d'énergie est étroitement liée à la conscience, tant au niveau de la perception que de l'utilisation.

Il faut entrer dans un état d'attention communément appelé conscience intensive qui se réalise avec la méditation par le passage des ondes cérébrales alpha à bêta et il en va de même pour le "déplacer".

L'énergie dont on parle est le feu secret des alchimistes, l'agent universel des magiciens de la Renaissance, les serpents de terre des prêtres chaldéens, les dragons souterrains du feng-shui, le mana des chamans.

Maintenant que vous en arrivez aux moyens de canaliser une telle énergie, chacun aura présent à l'esprit la puissance de l'Arche d'Alliance et les miracles de Moïse ainsi que les invasions déjouées de Delphes perpétrées par les Celtes et enfin la puissance des mages qui prétendaient dominer de tels "serpents" et pouvoir les lancer contre les hommes en les incinérant*.

Le lien étroit entre les énergies présentes dans le cosmos et dans l'homme est particulièrement fort dans ces domaines et devient une sorte de "connexion" de l'homme à l'univers comme le souligne la tradition yogi et plus proche de vous un personnage de la trempe de Rudolf Steiner.

L'importance de la "connexion" avec l'univers rappelle à la fois la tradition initiatique des chamans et les mystères de l'Antiquité, comme ceux des Égyptiens, des Grecs et de toutes les populations du croissant fertile, et passera par les écoles de magie et d'ésotérisme qui en dénaturent souvent le sens.

Vue dans cette perspective, toute la tradition change d'aspect et prend une clarté révélatrice.

Après une préparation intérieure sur le plan énergétique, les courants énergétiques de la terre mère ont également été canalisés, utilisés et accordés grâce aux complexes mégalithiques dont c'est la fonction, comme l'explique le fait que les pierres utilisées pour ériger ces monuments n'ont pas été choisies au hasard, mais sont en grande partie composées de pyrite et de quartz, deux matériaux qui agissent comme un "réservoir" d'énergie et en modifient la fréquence.

Enfin, on voudrait souligner la forte composante que prend le corps dans cette tradition, en complément de l'esprit et de son auxiliaire, et c'est la composante "humaine" de l'équilibre énergétique, la surnaturelle est placée dans la nature comme pure incarnation de l'esprit et inséparable de celui-ci.

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